l'armes

Coulant sur ma joue elle trace son chemin
En vient une deuxième, puis elles sont trois
Suivent le cours de leur chemin
Déferlant tel un torrent, les arrêter serai vain
Je me suis enfermé peu à peu dans mon silence
Ne faisant qu'évoluer ce sentiment d'errance
Que se cache-t-il au creux de ces petits torrents salés ?
Pourquoi coulent-ils c'est complètement insensé ?
Seul mon cœur sait ce qui c'est passait
Mais il a était brisé en enfermant ce terrible secret

Le temps à condamner ce cœur damné
Afin qu'ils cessent de coulés
Il se ferme et se consume à l'intérieur d'un feu ardant
La souffrance, mon cœur l'a connait
Car il est défaillant et ne sais plus ce que veut dire aimer
Alors larmes douloureuses passaient, je ne vous céderais jamais .....